Related Documents
Rouyn-Noranda (Québec), le 22 mars 2023 - Granada Gold Mine Inc. (TSX-V : GGM) (OTC : GBBFF) (Francfort : B6D) (la « Société » ou « Granada Gold ») a le plaisir de publier une mise à jour sur les besoins de Granada Gold en matière de traitement et la disponibilité à sa disposition.
Frank J. Basa, P. Eng., président et chef de la direction, a déclaré : « L’usinage à forfait de l’échantillon en vrac à une usine de traitement locale est à la fois économiquement viable et sans risque. Le programme d’usinage a pour but d’établir la teneur en or du matériel minéralisé. Afin de réduire davantage le risque lié au traitement de l’échantillon en vrac, l’installation d’une usine de traitement sur la propriété de Granada Gold pourrait être justifiée si les coûts d’usinage à forfait sont excessifs. »
Faits saillants du traitement de l’échantillon en vrac :
- Des usines locales de traitement de l’or, certaines en activité et d’autres présentement fermées, sont disponibles en Ontario et au Québec à une distance de transport économique de jusqu’à 300 kilomètres. Des capacités de traitement entre 800 et 2 000 tonnes par jour sont disponibles. Aucune de ces usines n’a de circuit gravimétrique initial permettant de récupérer l’or libre du matériel minéralisé provenant de la mine d’or de Granada. L’or libre potentiel a été démontré comme pouvant constituer jusqu’à 50 pour cent de la teneur en or du matériel minéralisé de la veine no1 à haute teneur sur la propriété de la mine Granada, qui a été exploitée à des teneurs de 9-10 grammes par tonne d’or (voir la rubrique sur l’historique d’exploration de la mise à jour de l’estimation des ressources minérales de Granada Gold datée du 20 août 2022, d’après le communiqué publié par la Société le 22 août 2022).
- Modifier une usine à forfait afin de concevoir et d’installer un circuit gravimétrique prendrait entre 6 et 12 mois. Modifier le permis d’usinage à forfait existant nécessiterait 6 mois. Le temps total jusqu’au début du traitement serait potentiellement de 6 à 12 mois. L’usinage à forfait pourrait être entrepris en une campagne avec des lots fixes afin de veiller à ce qu’il n’y ait aucun mélange entre le matériel minéralisé de Granada Gold et le matériel minéralisé d’autres sociétés. Le traitement annuel serait de 200 000 tonnes par année sur une période de 3 ans à un taux de 600 tonnes par jour. Le matériel minéralisé total traité sur la période de 3 ans, en tant qu’échantillon en vrac, serait de 600 000 tonnes (défini comme un démarrage graduel). Il est estimé que 3 pour cent d’un corps minéralisé est la quantité empiriquement requise pour représenter le plus fidèlement possible la teneur du corps minéralisé en question. La Société propose que le traitement de 600 000 tonnes pourrait représenter 3 pour cent du gîte exploitable par fosse défini sur une étendue latérale de 2 kilomètres au sein de la structure minéralisée orientée est-ouest de 5,5 kilomètres. Le programme initial de traitement de l’échantillon en vrac était désigné comme le démarrage graduel et devait être entrepris sur une période de trois ans. Deux ententes d’usinage ont été signées au cours des sept dernières années. Dans l’un des cas, les permis ont été modifiés par Granada Gold. Ni l’une ni l’autre des usines ne disposait du circuit gravimétrique requis et les deux ententes d’usinage ont éventuellement été résiliées.
- Le but d’un échantillon en vrac est d’établir une corrélation entre les données de forage et les données sur la teneur à l’usinage, afin de concevoir les plans de l’usine et améliorer la rentabilité du traitement. Le gîte actuel sur la propriété de la mine d’or Granada, un ancien producteur à haute teneur (10 grammes par tonne), n’a été exploré que sur 20 pour cent de sa superficie, avec 97 000 mètres de forage complétés sur le gîte principal jusqu’en 2018. Il reste ouvert en profondeur et latéralement. Un programme additionnel de 30 000 mètres de forage a été entrepris afin d’étendre les ressources vers le nord, en direction de la célèbre Faille de Cadillac, où plus de 120 millions d’onces d’or ont été extraites au cours des 90 dernières années (source : MERN du Québec). Les deux entrepreneurs en forage ont connu des problèmes techniques et d’équipement, avant que le programme de forage ne soit interrompu à 18 700 mètres en 2021. La Société a l’intention de redémarrer le programme de forage lorsqu’un entrepreneur en forage adéquat pourra être mandaté pour compléter le reste des 30 000 mètres prévus en plus des 90 000 mètres additionnels planifiés dans le cadre du programme. Le nombre total de mètres forés serait alors d’environ 217 000 mètres.
Personne qualifiée
Les renseignements techniques présentés dans ce communiqué ont été révisés et approuvés par Claude Duplessis, P. Eng., de GoldMinds Geoservices Inc., membre de l’Ordre des ingénieurs du Québec et personne qualifiée conformément aux dispositions du Règlement 43-101.
À propos de Granada Gold Mine Inc.
Granada Gold Mine Inc. continue de développer et d’explorer sa propriété aurifère Granada, détenue à 100 % par la Société et située près de Rouyn-Noranda au Québec, adjacente à la prolifique Faille de Cadillac. La Société contrôle 14,73 kilomètres carrés de terrains sous forme de baux miniers et de claims. La Société réalise présentement un vaste programme de forage dont 30 000 mètres (2020-2021) du total de 120 000 mètres ont été complétés. Les foreuses sont présentement en pause afin de laisser à l’équipe technique le temps nécessaire pour évaluer et assimiler les données existantes.
La zone de cisaillement de Granada et la zone de cisaillement Sud englobent, selon une cartographie historique détaillée et les résultats de forage historiques et actuels, jusqu’à 22 structures minéralisées sur une distance de plus de cinq kilomètres et demi selon un axe est-ouest. Trois de ces structures ont été exploitées historiquement à partir de quatre puits et trois fosses à ciel ouvert. Les teneurs souterraines historiques étaient de 8 à 10 grammes par tonne d’or provenant de deux puits creusés jusqu’à 236 m et 498 m, tandis que les teneurs dans les fosses variaient de 3,5 à 5 grammes par tonne d’or.
Estimation de ressources minérales
Le 20 août 2022, la Société a publié un nouveau rapport technique conforme au Règlement 43-101 étayant la mise à jour de l’estimation des ressources sur le projet aurifère Granada (voir le communiqué du 6 juillet 2022), indiquant que le gîte Granada renferme des ressources minérales mises à jour selon un scénario de base impliquant une teneur de coupure de 0,55 g/t Au pour les ressources minérales délimitées dans une fosse, au sein d’un tracé de fosse conceptuelle, et une teneur de coupure de 2,5 g/t pour les ressources minérales souterraines au sein de volumes raisonnablement exploitables, totalisant 543 000 onces d’or (8 220 000 tonnes à une teneur moyenne de 2,05 g/t Au) dans la catégorie des ressources mesurées et indiquées, et 456 000 onces d’or (3 010 000 tonnes à une teneur moyenne de 4,71 g/t Au) dans la catégorie des ressources présumées. Voir le tableau 1 ci-dessous pour de plus amples détails. Le rapport intitulé « Granada Gold Project Mineral Resource Estimate Update, Rouyn-Noranda, Quebec, Canada » et rédigé par Yann Camus, ing., et Maxime Dupéré, B. Sc., géo., de SGS Canada Inc., est daté du 20 août 2022 avec une date d’effet au 23 juin 2022.
Tableau 1 : Estimation des ressources minérales montrant les tonnes, les teneurs moyennes et le nombre d’onces d’or
Teneur de coupure | Catégorie | Type | Tonnes | Au (g/t) | Onces d’or |
0,55 / 2,5 | Mesurées1 | En fosse et souterraines | 4 900 000 | 1,70 | 269 000 |
Indiquées | En fosse et souterraines | 3 320 000 | 2,57 | 274 000 | |
Mesurées et indiquées | En fosse et souterraines | 8 220 000 | 2,05 | 543 000 | |
Présumées | En fosse et souterraines | 3 010 000 | 4,71 | 456 000 |
- La production de 1930-1935 a été retirée de ces nombres (164 816 tonnes à 9,7 g/t Au / 51 400 onces Au).
- La personne qualifiée indépendante aux fins de l’estimation des ressources est Yann Camus, ing., de SGS Canada Inc.
- La date d’effet est le 23 juin 2022.
- Les définitions de l’ICM (2014) ont été suivies pour les ressources minérales.
- La viabilité économique de ressources minérales qui ne sont pas des réserves minérales n’a pas été démontrée. Les ressources minérales présumées font l’objet d’un niveau de confiance plus faible que celui appliqué aux ressources minérales mesurées et indiquées, et ne doivent pas être converties en réserves minérales. Il est toutefois raisonnable de s’attendre à ce que la majeure partie des ressources minérales présumées puisse être convertie en ressources minérales indiquées en poursuivant l’exploration.
- Aucune évaluation économique des ressources n’a été produite.
- Tous les nombres ont été arrondis afin de refléter l’exactitude relative de l’estimation. Les totaux pourraient donc ne pas correspondre à la somme des composantes.
- Les composites ont été écrêtés lorsqu’approprié. Les composites de 2,5 m ont été écrêtés à 21 g/t Au dans les veines étroites et riches et à 7 g/t Au dans les volumes à basse teneur.
- Les teneurs de coupure sont basées sur un prix de l’or de 1 700 $ US l’once, un taux de change de 0,78 $ US = 1 $ CA, et un taux de récupération de l’or à l’usinage de 93 %.
- Les ressources minérales délimitées dans une fosse sont présentées selon un seuil de coupure de 0,55 g/t Au, à l’intérieur d’un tracé de fosse conceptuelle.
- Les ressources minérales souterraines sont présentées selon un seuil de coupure de 2,5 g/t Au, au sein de volumes raisonnablement exploitables.
- Une valeur de densité fixe de 2,78 g/cm3 a été utilisée pour estimer les tonnages à partir des volumes du modèle de blocs.
- Il n’y a aucune réserve minérale sur la propriété.
- Les ressources les plus profondes incluses dans l’estimation se situent à 990 m de profondeur.
- SGS n’a connaissance d’aucun enjeu environnemental, juridique, fiscal, socio-politique, lié aux permis, aux titres, à la commercialisation au d’autres enjeux pertinents qui pourraient avoir une incidence importante sur l’estimation des ressources minérales.
- Les résultats de l’optimisation de la fosse sont utilisés uniquement pour tester les « perspectives raisonnables d’extraction rentable » dans une fosse à ciel ouvert et ne représentent pas une tentative d’estimer des réserves minérales. Il n’y a aucune réserve minérale sur la propriété. Les résultats sont utilisés comme guide pour assister dans la préparation de l’estimation de ressources minérales et pour établir une teneur de coupure appropriée pour la présentation des ressources minérales.
La propriété englobe l’ancienne mine souterraine de Granada, qui a produit plus de 50 000 onces d’or à une teneur de 10 grammes par tonne d’or dans les années 1930 à partir de deux puits, avant qu’un incendie ne détruise les installations en surface. Dans les années 1990, Ressources Granada a extrait un échantillon en vrac dans la fosse #1 de 87 311 tonnes à une teneur de 5,17 g/t Au et a aussi prélevé un autre échantillon en vrac dans la fosse #2 de 22 095 tonnes à une teneur de 3,46 g/t Au.
« Frank J. Basa »
Frank J. Basa, P. Eng.
Chef de la direction
Pour plus d’information, veuillez communiquer avec :
Frank J. Basa, P. Eng.
Chef de la direction
Tél. : 416-625-2342
Ou :
Wayne Cheveldayoff
Communications
Tél. : 416-710-2410
Courriel : waynecheveldayoff@gmail.com
La Bourse de croissance TSX et son fournisseur de services de règlementation (au sens attribué à ce terme dans les politiques de la Bourse de croissance TSX) n'acceptent aucune responsabilité concernant la véracité ou l'exactitude de ce communiqué. Ce communiqué peut renfermer des énoncés prospectifs incluant, sans s'y limiter, des commentaires portant sur des événements et des conditions futures, qui sont sujets à différents risques et incertitudes. À l’exception des énoncés de faits historiques, les commentaires portant sur le potentiel en ressources, les programmes de travaux à venir, les interprétations géologiques, l’obtention et la sécurité des titres des propriétés minières, la disponibilité de fonds, et autres, sont des énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs ne constituent pas des garanties de rendements futurs et les résultats réels pourraient être sensiblement différents de ces énoncés. La conjoncture commerciale en général est l’un des facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels soient sensiblement différents des énoncés prospectifs.